Atelier de critique littéraire

Opportunité 

Postulez à l’atelier Critique littéraire, 

​Animé par Maya Ouabadi, rédactrice en chef de la revue Fassl

Cet atelier s’adresse aux journalistes culturels qui souhaitent se spécialiser dans la critique littéraire, aux étudiants en littérature, ou à toute personne intéressée par la rédaction d’articles de critique littéraire. 

Dates : 

23-24-25 janvier 2025

Lieu :

Alger-centre

Pour postuler, envoyez à : contact@editionsmotifs.com

votre biographie ou votre cv, ainsi qu’un court texte expliquant vos motivations à participer à cet atelier, en précisant en quelle langue vous souhaitez suivre la formation. 

Avant le 15-01-25

Pensé à partir de la revue de critique littéraire Fassl, bilingue (arabe-français), fondée en 2018 à Alger (éditions Motifs), cet atelier de critique littéraire s’adresse aux journalistes et aux littéraires qui souhaitent se spécialiser dans la rédaction d’articles autour de la littérature.

Maya Ouabadi, pour l’atelier en français 

Éditrice et critique littéraire. Après des études en littérature française et francophone et en édition à l’université d’Alger, elle rejoint la maison d’édition Barzakh. En 2018, elle fonde les éditions Motifs. La maison publie entre autres la revue de critique littéraire Fassl, bilingue (français-arabe), dont Maya est rédactrice en chef et la revue féministe La place, bilingue également, dont elle est co-rédactrice en chef avec Saadia Gacem. 

Elle mène par ailleurs une recherche et un projet d’édition, avec Léa Morin et Touda Bouanani, autour des textes de cinéma dans les pays arabes à la période des post-indépendances. 

En parallèle à son travail d’éditrice, elle contribue aux différentes revues qu’elle publie et, depuis janvier 2024, elle collabore au journal en ligne français « En attendant Nadeau ».

https://www.en-attendant-nadeau.fr/author/maya-ouabadi/

L’atelier est totalement gratuit et il comptera de 6 à 8 participants.

Ces ateliers reçoivent le soutien du Fonds arabe pour les arts et la culture AFAC, grâce à une subvention de l’Agence suisse pour le développement et la coopération.